Chap. 11: La domestication des plantes

11° vidéo d’une très grosse série en partenariat avec les éditions NATHAN.

Pour votre plaisir et réussite, je vous ai créé pour chaque chapitre de cours de spécialité SVT, une vidéo reprenant l’ensemble des principaux points à connaître pour votre BACCALAURÉAT.

BILAN POUR LES TERMINALES:

La sélection exercée par les populations humaines sur les plantes cultivées a permis leur domestication.

Les plantes cultivées ont acquis par sélection humaine des caractères différents de leurs ancêtres sauvages :

  • Taille
  • Rendement de croissance
  • Nombre de graines produites
  • Facilitation de récolte
  • Diminution de leur toxicité…

Grâce aux progrès de la sélection artificielle et des biotechnologies, les humains peuvent créer de nouvelles variétés.

Des techniques comme l’hybridation, ou encore la transgenèse ont permis l’introduction de nouveaux caractères et la création de nouvelles variétés.

Toutes ces techniques et l’évolution des pratiques culturales ont permis d’augmenter la production des plantes cultivées.

Or, l’étude des génomes montre un appauvrissement global de la diversité allélique lors des différents processus de sélection.

La perte de certaines caractéristiques des plantes sauvages (ex. les défenses chimiques) a favorisé le développement des maladies infectieuses végétales.

Les humains ont compensé par des pratiques culturales spécifiques : Pesticides, lutte biologique.

La recherche et l’exploitation des ressources génétiques permet d’envisager la création de variétés à plus faible impact environnemental, permettant par exemple de limiter l’usage d’engrais et de pesticides.

Les caractères favorisés par cette domestication ont rendu les plantes domestiquées dépendantes des humains pour leur reproduction et leur survie.

Humains et plantes domestiquées :

Relation de type mutualiste.

L’humanité est dépendante des cultures végétales pour son alimentation… …et les plantes cultivées sont dépendantes des pratiques culturales pour leur survie, leur reproduction et l’occupation de nouveaux milieux de vie.

Cette relation a entrainé une modification des caractères génétiques des plantes mais aussi des populations humaines en sélectionnant les génotypes les mieux adaptés à l’utilisation de ces plantes dans leur régime alimentaire.

Ce phénomène caractérise alors une coévolution.  

 LES QUESTIONS POSÉES / LES RÉPONSES ASSOCIÉES

(n’hésitez pas à commenter afin d’améliorer les réponses si besoin !)

Q1:  

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